En tant que Partenaire Officiel des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, Cisco met tout son savoir-faire au service des Jeux.
Pour illustrer cet engagement, nous mettons en avant des talents qui contribuent à faire de ce rendez-vous un moment exceptionnel, de divertissement et de compétition. Ces talents qui ont su révéler tout leur potentiel, bâtir leur carrière et performer.
Aujourd’hui, nous vous présentons Juliette Labous, cycliste professionnelle de 22 ans, membre de l’Équipe de France et de l’équipe DSM. Et comme la valeur n’attend point le nombre d’années, Juliette Labous n’est autre que championne de France du contre la montre 2020, 6e du contre la montre aux championnats mondiaux de Bruges, seule cycliste française sélectionnée aux des derniers Jeux Olympiques, et qui a pour ambition de participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024.
Le cyclisme, une passion de longue date
Depuis toute petite, le cyclisme est un monde qui m’attire. En voyant mon frère démarrer le BMX et le VTT à 12 ans, alors que j’en avais 7, j’ai tout de suite su que je voulais moi aussi m’engager dans le cyclisme. Et depuis, cette passion ne m’a jamais quittée.
Mon ambition a toujours été de faire partie d’une équipe professionnelle, opportunité que j’ai pu saisir à 17 ans, alors que j’évoluais dans le vélo de montagne.
Afin de garder un filet de sécurité, j’ai démarré en parallèle deux ans de DUT en Génie et Production, mais j’ai fini par arrêter pour me consacrer entièrement à ma passion. C’est à ce moment-là j’ai intégré la team DSM, où je me développe en tant que cycliste et où j’apprends à avancer en équipe.
Le collaboratif avant tout
En intégrant l’équipe DSM, je me suis rendu compte à quel point le collaboratif était un élément essentiel lorsqu’on est en quête de victoire, mais j’ai également réalisé tous les bénéfices à faire partie d’une équipe internationale.
Travailler ensemble permet de faire émerger le meilleur de nous-même, car nous nous tirons mutuellement vers le haut, et nous apprenons des cultures de chacune. Et en tant que membre d’une équipe féminine dans un sport originellement masculin, il y a d’autant plus une notion d’égalité dans la façon dont nous interagissons. C’est un véritable moteur de motivation pour une athlète.
Pendant les confinements liés à la crise sanitaire, il a été d’autant plus essentiel de rester soudées et connectées pour continuer à faire vivre cette équipe, et alors même que je devais faire du home training. Pour ça, nous avons organisé beaucoup de réunions et d’évènements virtuels afin de garder le contact et de préserver des temps d’échange. Les moyens de communication tel que la visioconférence ont été des outils précieux pour créer une vraie proximité malgré la distance. Des habitudes qui ont su s’ancrer puisque je continue aujourd’hui à échanger avec mon nutritionniste et mon entraîneur par ce biais.
Objectif : Paris 2024
La compétition a toujours été un facteur de motivation pour moi. J’ai débuté les compétitions internationales alors que j’avais 10 ans, et je crois pouvoir dire que j’avais déjà cet esprit compétitif. C’est avec ce même esprit que j’ai participé aux Jeux de cet été en tant que seule et unique coureuse française de ma discipline. Je dois dire que c’est assez grisant et motivant de pouvoir représenter, avec les autres athlètes, la France aux Jeux Olympiques. L’atmosphère que l’on retrouve sur place et dans l’équipe est spéciale et enivrante.
Maintenant que je suis rentrée, je continue l’entraînement et garde le cap des préparatifs pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. J’aurais alors 26 ans, l’âge auquel les cyclistes professionnels réalisent généralement leur meilleure performance. Mon objectif est clair : décrocher une médaille d’or !